Avec son nouveau module Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS), nona devient le premier outil de gestion à couvrir l'ensemble des enjeux quotidiens en restauration! Retour sur les intérêts d'un PMS numérisé.
Transformer ses pratiques alimentaires en restauration collective, c’est possible. Tout au long de cette année 2024, nona vous propose un tour de France des cuisines engagées pour la transition alimentaire ! En octobre, rendez-vous à Port-Jerôme-sur-Seine, où Nona a pu s’entretenir avec Virginie Gilbert, responsable du service de restauration.
Transformer ses pratiques alimentaires en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, nona s’est entretenue avec Mathilde Fouilland de la Cinéfabrique de Lyon.
Tous les mois, Nona vous présente un de ses partenaires. Ce mois-ci, c’est Cuisinons nos Paysages que nous vous proposons de rencontrer. Nona a pu s’entretenir avec Augustin qui a cofondé ce réseau d’ateliers de transformation de proximité autour du végétal.
Nona a identifié pour vous tous les défis liés aux recettes durables pour la restauration collective, et vous aide à y faire face grâce à son outil gratuit : le module Recette.
Transformer ses pratiques alimentaires en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec Véronique Fernandez et Sébastien du Plateau-des-Petites-Roches.
Tous les mois, Nona vous présente un de ses partenaires. Ce mois-ci, c’est Agores, l’Association nationale des directeurs de la restauration collective que nous vous proposons de rencontrer. Nona a pu s’entretenir avec Maxime Cordier, actuel vice-président.
Transformer ses pratiques alimentaires en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec Clément Cornec et Christophe Boulaire de la commune du Rheu.
Tous les mois, Nona met à l’honneur un de ses partenaires. Ce mois-ci, c’est Kuupanda et sa solution pour les agriculteur·rices que nous vous présentons.
Transformer ses pratiques en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec Carine Cancel et Céline Benazeth de la commune de Belpech.
Transformer ses pratiques en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec David Le Meur et Solenn Douguet de la commune de Plouguerneau..
Tous les mois, Nona met à l’honneur un de ses partenaires. Nous continuons avec Cap Veggie, qui a pour ambition d’intégrer la cuisine végétarienne à la restauration collective.
Face à la crise agricole actuelle, nona a développé ce dernier mois, avec des dizaines de partenaires, une solution concrète favorisant l’accès à l’agriculture française pour les cantines : un outil numérique gratuit, référençant des recettes de saison et 900 producteur.rices locaux.
Transformer ses pratiques en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec Adeline Adrien, Karine Sesseto et Sophie Villermet de la commune de Tavers.
Le programme Européen « Fruits & légumes à l’école » de FranceAgriMer finance la distribution de produits laitiers et fruits et légumes frais dans les cantines scolaires. Nona vous accompagne pour obtenir cette aide !
Transformer ses pratiques en restauration collective, c’est possible. Pour valoriser les cantines et communes qui s’engagent en faveur de la transition alimentaire, Nona s’est entretenue avec Aline Guyonnaud et Simon Cointe de la commune de Barjac.
Tous les mois, Nona met à l’honneur un de ses partenaires. Nous commençons par Un Plus Bio, association qui a une ambition : transformer les territoires via le prisme de l’alimentation.
La révolution du monde de la restauration collective est en marche. Mais comment les cantines accèdent-elles à plus de produits bios et locaux ? Depuis la promulgation de la loi EGALim en 2018, la création de nouveaux projets alimentaires territoriaux (PAT) se multiplie en France métropolitaine et nombre de ces projets placent les cantines au cœur de leur stratégie alimentaire territoriale. Suite à nos échanges avec certains PAT, nous avons décidé de nous attarder sur ces démarches collectives inspirantes.
La mondialisation de notre système alimentaire est aujourd’hui fortement contestée par des mouvements engagés qui œuvrent pour une économie solidaire, locale et durable.
La consommation de plats végétariens a de nombreux bienfaits. Elle préserve notre santé en améliorant notre qualité de sommeil, protège la planète en épargnant nos ressources en eau et en émettant moins de gaz à effet de serre et est source d’économies budgétaires.
Maia résume la Loi EGalim pour vous aider à comprendre et atteindre ses objectifs, et vous dirige vers les ressources utiles pour vous accompagner et vous faire développer de bonnes pratiques.
La mission éducative de la cantine scolaire contribue d’une part à la propagation des “bonnes pratiques et d’une alimentation plus saine et durable, et d’une autre part à l’amélioration des capacités d’apprentissage des élèves.
Dans l’objectif de réduire drastiquement les déchets de plastique, notamment en vue de la loi EGALIM, un éventail d’action au cas par cas est possible.
La pêche artisanale est une solution complète pour répondre à l’enjeu environnemental criant. Néanmoins, son emploi nécessite un changement de point de vue où désormais l’offre de poissons ne doit plus être obligatoirement constante et diverse.
De nombreuses actions sont possibles pour lutter contre le gaspillage alimentaire en restauration scolaire. Il s’agira de mieux planifier la production alimentaire, de sensibiliser les enfants et les parents, de définir des objectifs clairs et précis.
La loi EGALIM incite à réduire le gaspillage alimentaire dans les cantines scolaires. En effet, le gaspillage alimentaire est un problème à la fois économique et social déterminant.
La consommation de produits de la mer durable dépend à la fois du choix des espèces, des modes de pêche et des labels privilégiés. Toute cette dynamique, pour être valable, ne doit pas omettre de choisir les poissons en fonction des saisons et de leur maturité sexuelle.
Grâce à l’outil Parcel, les acteurs locaux peuvent estimer les retombées positives d’une alimentation locale. Celles-ci se mesurent sur le plan de l’environnement et de la santé, ainsi qu’à travers une stimulation d’une économie de circuit-court.